Édito

Bienvenue sur le site de la commune d’Ormoy-Villers,

Ormoy-Villers et son hameau, le Petit-Villers constitue une commune située à 55 kilomètres de Paris par la voie ferrée au cœur du Pays de Valois. La commune fait partie du patrimoine du Valois, façonnée par l’histoire et influencée par l’arrivée de nombreux nouveaux habitants issus de tous les horizons. Notre village s’enrichit des idées de cette nouvelle population tout en conservant ce qui fait son charme, c’est à dire son caractère rural et tranquille. C’est un village où nos anciens peuvent encore respirer tranquillement l’air de la campagne et profiter du chant des oiseaux ou cultiver leur jardin, et respirer les fragrances des roses de Picardie qui ont inspiré une chanson anglaise qui a fait le tour du Monde et connu le succès en France.

C’est aussi une population jeune, avec des enfants, lesquels peuvent jouer dans les cours d’école après avoir appris de belles choses avec leurs professeurs ou profiter de la cantine et du périscolaire. Les enfants qui sont l’avenir de notre pays peuvent bénéficier des infrastructures de notre regroupement scolaire avec les communes de Rouville et Duvy.

Les enfants de 7 à … peuvent également faire du sport, se détendre ou se cultiver au sein des associations du village, football, boules ou encore bibliothèque associative. Et après l’effort sportif ou intellectuel, le réconfort est bienvenu autour d’un café au centre du village, en face de l’église du 12 ème siècle ou en dégustant un gâteau de la boulangerie du village.

En plus de son patrimoine, sa forêt en fait un poumon d’oxygène à la frontière de l’Ile de France et invite à la ballade que ce soit du côté de la Pierre au Coq ou de la Pierre Glissoire mais aussi vers la Coulée Verte qui devrait rejoindre notre village dans un bref délai. Ce sera alors le point de départ d’une belle balade en vélo ou à pied permettant de flâner au fil des saisons pour découvrir des vestiges de la seconde guerre mondiale, des arbres  remarquables, des fougères ou encore des bruyères en écoutant le chant des engoulevents, oiseau rare, ou le brame des cerfs à l’automne et peut-être les apercevoir au détour d’une clairière.

Le Maire, 

Pascal ETAIN